©

Le principe iQ-Therm

Il associe capillarité, isolation thermique et régulation de l'humidité de l'air en un système.

Le système iQ-Therm offre une combinaison unique en son genre de la fiabilité d'application des matériaux éprouvés en silicate de calcium à action capillaire et de l'isolation thermique haute performance des mousses organiques. Dans ce système, la couche de sorption - avec un "effet tampon" - permet de réguler l'humidité de l'air, garantissant ainsi un climat ambiant agréable et une protection sûre contre la formation de moisissures.

  • Propriété isolante extrême (λ = 0,031 W/mK)
  • Forte activité capillaire, donc 100% sûre contre l'humidité et les moisissures
  • Régulation de l'humidité de l'air, assure un climat ambiant agréable
  • Permet une réduction des coûts de chauffage, significative et durable
  • Utilisable en tous bâtiments et habitations sans modification de l'aspect de la façade
  • Epaisseur de construction extrêmement réduite, utilisation facile et localisée
  • Ecobilan positif, contrôlé par l'Institut all. du bâtiment et de l'environnement (IBU)

©

Isolation intérieure au bilan écologique positif

iQ-Therm - L'intelligence est payante

Une propriété est synonyme de sécurité financière. Les travaux d'isolation thermique en augmentent la valeur. Par ailleurs, les mesures visant à améliorer l'isolation thermique ouvrent un potentiel d'économie d'énergie direct - les coûts de chauffage sont réduits. Un tel investissement en vaut la peine ! D'autant plus lorsque la réhabilitation est associée à une rénovation déjà en cours.

Si des mesures de transformation, réhabilitation ou de modernisation sont à l'ordre du jour, le coût supplémentaire pour une isolation intérieure des murs avec iQ-Therm - dans le cadre de la globalité des travaux - n'est que d'environ 50% par rapport à une mesure de rénovation classique.

Selon l'Office fédéral all. de la statistique, les prix de l'énergie ont augmenté de plus de 40% entre 2000 et 2010. Pour économiser efficacement, une isolation professionnelle est nécessaire pour réduire la consommation en énergie.

Le rapport final de l'Office fédéral de novembre 2016 conclut: "Par rapport à l'année de référence 2010, les ménages ont dû - l'année dernière et cette année - payer environ un quart de plus pour leur électricité. Depuis le début du millénaire, le prix consommateur a plus que doublé."

Un exemple de calcul:

Dans l'exemple ci-après, 150 m² environ de mur extérieur sont isolés. Avant l'isolation, environ 12 000 KWh d'énergie de chauffage étaient nécessaires pour "compenser" les pertes de chaleur par transmission. iQ-Therm a réduit les besoins en énergie de chauffage de 77,7 %; ainsi, après rénovation, seuls 2 500 KWh environ de gaz naturel sont encore nécessaires, ce, par une réduction des valeurs U du mur extérieur de 1,173 W/(m²K) à 0,261 W/(m²K).

Ce résultat implique également que les exigences du Décret EnEV (décret all. sur les économies d'énergie) en vigueur sont satisfaites*.

Avec l'isolation intérieure, la première année permet déjà d'économiser plus de 750 euros de frais de chauffage. Isoler l'intérieur est rentable - d'autant plus si l'isolation est associée à une rénovation. Si des mesures de transformation, réhabilitation ou de modernisation sont à l'ordre du jour, les coûts supplémentaires pour l'isolation intérieure des murs avec iQ-Therm - dans le cadre de la globalité des travaux - ne sont que d'environ 60% par rapport à une mesure de rénovation classique.

* Calculé avec l'iQ-Lator, application murale: Brique rouge 30 cm, enduit bâtard 1,5 cm, système iQ-Therm 80, prix du gaz naturel 0,59 € /m³ et facteur d'utilisation de la chaudière de 0,8.

Recyclage & Santé

iQ-Therm ne libère aucune substance allergène ou nocive pour la santé. Les plaques isolantes sont à très faible émission et n'offrent aucun terrain favorable aux moisissures et bactéries. Le matériau est recyclable, inodore et physiologiquement inoffensif.

Bien-être

La température des murs a une grande influence sur le confort ressenti. La température de l'air ambiant est perçue comme particulièrement agréable lorsqu'elle est <20°C. Par basse température, l'air est moins déplacé et présente donc un risque moindre pour les personnes allergiques.

Si la température en surface des murs d'une pièce est maintenant augmentée par une rénovation éco-responsable sur le plan énergétique, la température ambiante peut logiquement être abaissée - et ce, en conservant une sensation de bien-être et un risque d'allergie réduit.